Enfin, la bonne nouvelle de la semaine – l’article de Martin Gélinas, qui a terminé sa maîtrise à l’été 2020, a été accepté dans le journal Microbiology Spectrum. Ces travaux, qui sortent un peu du cadre de nos recherches habituelles car nous aimons bien explorer de nouvelles idées, visaient à déterminer s’il y a des voies métaboliques qui sont modulées de façon similaire lors de la formation de biofilms par des bactéries de différentes espèces. Nous avons mis en lumière qu’en fait, il n’y a que la voie de synthèse de novo des purines qui est régulée de façon commune. Cette voie pourrait donc servir de cible potentielle pour lutter contre les infections bactériennes chroniques, qui sont à 80% causées par des biofilms nuisibles. Merci aussi à Léa pour son travail acharné lors des révisions de l’article. À suivre!
Aucune arrivée ou départ à souligner au laboratoire, les personnes étudiantes y étant si attachées qu’en fait elles poursuivent leurs études encore plus longtemps! En effet, Léa et Jean-Sébastien sont devenus étudiante et étudiant au doctorat cet automne, et donc prolongeront leur séjour avec nous, à notre grand plaisir. D’ailleurs, soulignons que la photo « Soleil microbien » de Léa, mentionné dans la dernière entrée du blogue, a remporté un prix du jury dans le cadre du concours La preuve par l’image.
Enfin, la bonne nouvelle de la semaine – l’article de Martin Gélinas, qui a terminé sa maîtrise à l’été 2020, a été accepté dans le journal Microbiology Spectrum. Ces travaux, qui sortent un peu du cadre de nos recherches habituelles car nous aimons bien explorer de nouvelles idées, visaient à déterminer s’il y a des voies métaboliques qui sont modulées de façon similaire lors de la formation de biofilms par des bactéries de différentes espèces. Nous avons mis en lumière qu’en fait, il n’y a que la voie de synthèse de novo des purines qui est régulée de façon commune. Cette voie pourrait donc servir de cible potentielle pour lutter contre les infections bactériennes chroniques, qui sont à 80% causées par des biofilms nuisibles. Merci aussi à Léa pour son travail acharné lors des révisions de l’article. À suivre!
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Chercheure principale
Pascale B. Beauregard a obtenu son baccalauréat en biochimie à l'Université de Montréal (2002), et a complété une thèse de doctorat sous la direction du Dr Luis Rokeach (2009, Université de Montréal). Elle a ensuite effectué un stage postdoctoral à Harvard Medical School (2010-2014, Boston) avec Dr Roberto Kolter, où elle a commencé à explorer les interactions entre les bactéries et les racines de plantes. En 2014, Dr Beauregard a joint le Département de biologie à l'Université de Sherbrooke, où son groupe de recherche examine une multitude de sujets en lien avec les biofilms bactériens. Archives
September 2023
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